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 C'est lorsque le soleil se couche, que le paysage est admirable. ft Daisy

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ezechiel andrea waverly
    Catch me if you can, Darling.

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MessageSujet: C'est lorsque le soleil se couche, que le paysage est admirable. ft Daisy   C'est lorsque le soleil se couche, que le paysage est admirable. ft Daisy Icon_minitimeVen 26 Juin - 14:00

    La journée fut longue ; très longue. Ezechiel se sentait fatigué, il avait dormit quatres heures toutes au plus étant prit d'insomnie ; il avait herré une grande partie de la nuit dans sa demeure, ne sachant comment s'occuper en attendant que le sommeil l'assaillisse. Il avait fait les cents pas dans sa chambre, lu un livre, regardé la nuit par la fenêtre mais rien n'y avait fait. Voyant de la lumière, sa femme de chambre s'était inquiétée & lui avait demandé si tout allait pour le mieux. Il lui avait alors expliqué la situation et elle partit lui préparer un verre de lait qui devait l'aider à s'endormir. Il s'était couché sur son lit et enfin, après de longues heures avait réussi à se laisser bercer par le marchant de sable.
    Le matin pointa son nez, & le soleil s'immissait dans la chambre du jeune homme. C'était un grand soleil, qui prévoyait une belle journée comme on peut en voir à la fin du mois de juin. Ezechiel se leva tant bien que mal de son grand lit à baldaquin ; il titubait à cause de son manque de sommeil. Son regard se posa sur l'horloge dont l'aiguille indiquait neuf heures. C'était une belle matinée de juin, oui.
    La journée avait été ennuyeuse, nous étions jeudi & le jeune Waverly avait ce jour en horreur. Sans doute un rapport avec son enfance, : tout les jeudis, alors qu'il n'avait que sept ans, il avait cours de théologie ; son professeur était quelqu'un de froid et aigri. Il enseignait sa matière avec une sévérité sans pareil & aujourd'hui encore il arrivait au jeune homme de rêver de ces affreuses après-midi à connaître l'histoire de Dieu & de ses disciples. A partir du départ de ce professeur, il s'était juré de ne jamais croire en une divinité suprême...
    Il mangea avec Grace, sans son père qui travaillait, il la trouvait de plus en plus stupide & inintéressante. La fin de sa journée avait été bercée par l'envie de se rendre aux champs de courses pour voir Daisy.
    L'horloge retentit - 6h30. Un rictus se dessina sur les lèvres d'Ezechiel ; enfin il allait se sentir libre, loin de cette grande maison qui l'étouffait. Il se mit à courir dans les rues de Londres - il bouscula deux Ladies d'ailleurs, mais qu'importe : il allait vivre sur ces étendues d'herbes en compagnie de son amie.

    NB = vraiment désolée, c'est nul mais mon inspi' est bof. =/
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MessageSujet: Re: C'est lorsque le soleil se couche, que le paysage est admirable. ft Daisy   C'est lorsque le soleil se couche, que le paysage est admirable. ft Daisy Icon_minitimeVen 3 Juil - 0:58


« monter à cheval enivre comme le vin. une fois en selle, on perd la raison et on commence à se balancer comme dans un rêve héroïque. » - laza lazarevic

Le tic - tac insupportable d'une montre à gousset. L'odeur des premiers cigares cubains qu'on brûle, dans l'espoir vain de paraitre plus riche qu'on ne l'est en réalité. Le son des glaçons qui s'entrechoquent dans les verres de scotch. Et les compliments sur la toilette d'une lady que plus personne ne s'étonne de voir trainer là, au milieu de ces hommes d'âge mûre. La fille aux cheveux vanille traverse la pelouse éclatante, laissant vagabonder derrière elle les effluves, délicates et sucrées, du parfum naturel de la jeunesse. Les cous se tordent, et les bouches, entrouvertes, laissent imaginer le pire quant aux idées malvenues de quelques esprits peu angéliques. C'est qu'ils ne sont plus habitués. Les eaux de toilettes écœurantes baignent désormais la nuque poudrée de leur compagne, désireuse de séduire à nouveau. Et elles aimeraient faire concurrence à ces jeunes ladies, tout juste sortie de l'enfance. Elles osent presque croire que leurs mains embrassées de bijoux parviendront un jour à faire oublier les sourires innocents de leurs cadettes. Mais ici, c'est différent. Tellement différent que c'en est à peine croyable. Et c'est cela, plus que la compagnie des chevaux, que se complait à retrouver la fille aux cheveux vanille. Tous les jeudis. Et ce au grand désarrois de sa génitrice, qui la préférerait dans un quelconque salon de thé, en compagnie de quelques jolies aristocrates de son âge. Des filles. Car elle sait, peut être mieux que quiconque, que peu de ces dandys ont un jour véritablement aimé leur épouse. Que peu d'entre eux leur ont jamais été parfaitement fidèles. Et que l'idée d'épouser en secondes noces, une lady de vingt ans à peine, aussi belle qu'une jeune femme puisse l'être, effleurera probablement l'esprit de chacun. Peu importe. La fille aux cheveux vanille n'a que faire de plaire ou de choquer. D'encourager les ambitions malvenues. Ou de séduire des hommes qu'une épouse, fidèle et aimable, attend tranquillement dans la demeure familiale, espérant certainement une quelconque marque d'affection de la part de leur mari. La fille aux cheveux vanille est insouciante. Rêveuse. Innocente. Romanesque. Et amoureuse. Tellement amoureuse que c'en est à peine supportable et qu'elle aimerait, certains jours, pouvoir arraché son pauvre petit cœur de sa poitrine. Les couchers de soleil sur les champs de courses, le jeudi, les chevaux qui apaisent et qui rassurent. Ezechiel Andrea Waverly. La fille aux cheveux vanille ne vit que pour cela. Oublier le temps et ne plus penser qu'aux merveilles du monde. La fille aux cheveux vanille se fiche que les autres la trouvent étrange. Les autres. Les autres, elles les ignorent. Et ça les énervent, l'indifférence. Alors ils frappent aussi fort qu'ils en sont capables. Mais, le jeudi, sur les coups de six heures trente, ils ne peuvent plus rien. Parce que la fille aux cheveux vanille est avec Ezechiel Waverly. Et qu'elle sait qu'un jour ou l'autre, peu importe combien de temps devra elle attendre, son destin sera couché sur le papier, à côté de celui de l'être dont elle portera le nom. Ou quand la fille aux cheveux vanille devient mrs Suzy Caliopee Waverly.

Suzy Caliopee Reynolds traversa l'immense pelouse des champs de courses londoniens, saluant les quelques dandys un tant soit peu ponctuels de la ville. Six heures trente n'avait même pas encore sonné que déjà, elle sentait le sang battre dans ses oreilles, sorte d'étalon fougueux galopant dans son imagination. Bientôt, se disait elle, elle retrouverait Ezechiel à l'endroit habituel. Et son rêve éveillé débuterait de nouveau. Comme tous les jeudis, elle avait passé la journée à faire les cent pas dans l'hôtel particulier familial des Reynolds, tâchant de ne pas ronger ce qu'il lui restait d'ongles. Et six heures avait sonné. Enfin. Et Suzy, n'en pouvant plus de cette attente insoutenable, avait décidé de partir immédiatement. Elle sautillait presque dans le cabriolet qui la menait aux champs de courses, et l'accueil que lui réservait ces messieurs ne la ravit que d'avantage encore. Suzy contourna les gradins, se fichant de la boue qui pourrait bien venir entacher sa robe en mousseline de soie française. Et ses pieds, comme si elle ne les contrôlait plus tout à fait, la dirigèrent jusqu'à un box bien précis. C'était toujours le même cheval, Labous ar Crano. Suzy ne s'expliquait pas pourquoi Ezechiel avait préféré ce canasson à un autre, plus beau, plus fort, plus rapide. Et elle espérait vraiment que les yeux verrons du cheval avait fait penché la balance en sa faveur. Que c'était ce qui le rendait si exceptionnel, si différent. Parce que Suzy avait, elle aussi, cette particularité que certains considéraient comme un défaut. L'erreur d'une nature indécise, plus souvent. Les yeux verrons. Un brun, un autre bleu azur. La jeune lady laissa ses doigts vagabonder sur le museau de l'animal, confiante. Son sempiternel jockey n'était pas là. C'est que Labous ar Crano n'avait jamais rien gagné. Et à quoi bon s'occuper d'un perdant ? C'était tout à fait le genre de réprimandes qu'aurait pu faire mrs Reynolds. Suzy n'était pas de l'avis de sa génitrice. D'ailleurs, elle ne l'avait jamais été. Elle était de celles qui osaient croire que c'était, plus que la destination, le voyage tout entier qui importait. Et tant pis si Labous ne gagnait jamais rien. Il galopait, encore et encore. Sans jamais abandonner. Suzy se pencha, lentement, délicatement, de peur d'effrayer l'animal, et déposa un baiser sur son pelage isabelle.
s u z y - on est pareil, toi et moi. incompris, certes. mais libre... libre comme le vent. nous serions certainement de grands amis, les meilleurs du monde, si seulement tu étais l'un des personnages de mes romans. et tu pourrais m'emmener loin, loin.... à paris !
e z e c h i e l - voilà que tu parles à un cheval, maintenant.
Suzy se retourna brusquement, évitant de justesse le coup de tête du cheval, stupéfait. Au loin, il lui semblait que le soleil allait disparaitre et s'éteindre d'un instant à l'autre. Comme si, force d'espérer si fort et si longtemps que le temps ne s'écoule plus vite, tous ses désirs étaient finalement devenus réalité. Parce qu'il se tenait là, juste devant elle. Les mains dans les poches, avec cette nonchalance démesurée qui lui allait si bien, une cigarette à demi consumée entre ses lèvres scellées. Les cheveux ébouriffés, comme s'il était venu en courant. Le sourire espiègle, comme toujours. Il était beau. Ezechiel désigna Labous ar Crano du menton, les sourcils arqués en une sorte de croissant délicieux que Suzy aurait voulu dévorer.
e z e c h i e l - je pensais que tu ne l'aimais pas.
s u z y - c'ets parce que l'on se ressemble plus que je n'aimerais le croire.
e z e c h i e l - c'est un cheval, daisy, est-ce que tu le sais au moins ?
s u z y - ne te moques pas, waverly. je te rappelle que c'est toi, celui de nous deux qui l'a choisit.
e z e c h i e l - certainement.... le soleil se couche.
s u z y - oui.
e z e c h i e l - nous devrions y aller.
s u z y - très bien. mais trouves toi un autre cheval, waverly. ce canasson là est à moi, maintenant.
Suzy se faufila, doucement, à l'intérieur du boxe. Elle tira sur la bride de l'animal, et le sortit de son abris de bois. Presque invisible. Ezechiel prit sa taille entre ses mains, tachant tant bien que mal de l'aider à grimper. Suzy n'avait jamais vraiment eu le sens de l'équilibre, et la tâche de monter en amazone était loin d'être aussi aisée qu'il n'y paraissait. Il leva les yeux vers Suzy, un sourire malicieux flanqué sur son visage de russe.
e z e c h i e l - files, daisy. donnes moi juste le temps de trouver une nouvelle monture, puisque tu semble m'avoir dérober la mienne à tout jamais. je te rejoins à l'endroit habituel.
s u z y - d'accord.
Ezechiel frappa le flan de l'animal, aussi fort qu'il semblait en être capable. Et il regarda son amie s'éloigner vers le soleil couchant, ses cheveux couleur vanille virevoltant derrière elle.


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MessageSujet: Re: C'est lorsque le soleil se couche, que le paysage est admirable. ft Daisy   C'est lorsque le soleil se couche, que le paysage est admirable. ft Daisy Icon_minitimeSam 18 Juil - 19:01

    Parcequ'elle était belle Suzy , non Ezechiel ne le niait pas. Elle avait ce côté enfantin qu'il appréciait & qu'il n'avait jamais vu chez aucune autre Lady. Elle se fichait de l'étiquette anglaise qu'elle se devait normalement de respecter et c'est sans doute pour cela que les deux jeunes gens étaient devenus amis. Suzy était un Ezechiel au féminin, et vice-versa.

    Le jeune homme ajusta sa veste puis se dirigea vers le dernier boxe de l'immense écurie du champ de course ; à l'intérieur se trouvait un cheval noir aux yeux clairs, au pelage soyeux et à l'allure fière. << Léopus King II >> tel était son nom - de très mauvais goût selon Waverly qui préferait le seul nom de Léopus. En moins de cinq minutes il avait passé les rennes au cheval qui se tenait calme près du garçon ; ce dernier decida de monter sans selle, il était plutôt bon cavalier et se prêtait volontier au jeu de l'homme libre bravant les interdits. Le temps d'une ballade, tout est permis... Lorsqu'il fut sur le destrier, il se sentit bien, vraiment bien. C'était une sensation qu'il n'épprouvait que rarement & surtout d'ailleurs, en compagnie de Daisy. Un rictus se dessina sur ses lèvres et bientôt il quitta à son tour l'écurie afin de rejoindre la jeune Lady.

    Le cheval galopait dans l'herbe humide à cause d'une légère pluie datant de la veille au soir ; bientôt il pu apercevoir Daisy qui attendait. Il arriva près d'elle brusquement et ria.

    Ezechiel - Vous m'attendiez Milady ?


    Il observa son amie & son regard plongea dans le sien. Chaque Lady de Londres connaissaient plus ou moins Waverly et elles savaient toutes combien il était charmeur. Daisy ne devait sans doute pas l'ignorer et Ezechiel en jouait beaucoup.



    Ezechiel - Alors qu'as - tu fais en ce jeudi ? Je suppose que ta famille ta forcée à recevoir des dandys tous plus ennuyeux les uns que les autres. Heureusement que je suis là ..


    Il ria, laissant apparaître ses dents blanches et bien rangées ; Daisy et Ezechiel c'étaient un peu comme le chat et la souris , toujours en train de se taquiner afin en réalité de cacher des sentiments plus profonds ...
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MessageSujet: Re: C'est lorsque le soleil se couche, que le paysage est admirable. ft Daisy   C'est lorsque le soleil se couche, que le paysage est admirable. ft Daisy Icon_minitimeLun 31 Aoû - 0:58


Suzy laissa vagabonder son regard sur le visage, radieux, de son ami. Bien sûr, il était beau. Tellement beau même que c'en était insupportable. Et elle dut résister à l'appel de ses lèvres quand celles ci se fendirent en un de ces sourires qu'elle connaissait si bien. Sourire. Elle détourna les yeux pour qu'il ne puisse lire la mélancolie dans ses yeux. C'est qu'elle le connaissait depuis toujours. Et soudain, voilà que son cœur s'emballait, que ses épaules frissonnaient au contact des mains d'Ezechiel. Nostalgie. Elle aurait tout donné pour revenir au temps où tout était si simple, si clair, au temps où elle pouvait encore être irresponsable. Au temps où elle ne se posait pas tant de questions. Il lui semblait maintenant que grandir était une obligation détestable. Et l'amour, s'il s'agissait bien de cela, un sentiment des plus cruel.
e z e c h i e l - heureusement que je suis là...
Suzy descendit du dos de l'animal, caressa son flanc une minute, puis noua les brides autour d'un tronc d'arbre. Même leur cachette secrète, le seul endroit où elle se soit jamais vraiment sentie en pleine confiance, en sécurité, paraissait maintenant affreusement étouffante. Elle parcourut la clairière des yeux. C'est endroit avait été le témoin de leurs plus intimes confidences, dans la chaleur moite des après midi d'été. Et de tous les autres jeudis de leur existence. Le sommet du vieux chêne, juste derrière Suzy, offrait la plus belle vue des champs de courses que l'on puisse trouver. Au printemps, le bosquet s'illuminait de fleurs sauvages et rougeoyantes, dansant au rythme des cris joyeux des oiseaux d'été. Et, à l'aurore, lorsque le soleil enflammait de ses baisers le vieux continents, la clairière était baignée d'une lumière chaude et pétillante. Presque irréelle.
s u z y - tu n'imagines même pas à quel point, waverly. je ne vis que pour notre jeudi après midi. je ne vis que pour toi.
Comme il riait, Suzy se tourna vers lui pour lui adresser un sourire. Il ne comprenait pas. Ou bien était ce simplement qu'il ne voulait pas comprendre. Depuis longtemps, il était promis à l'androgyne mais pas moins jolie Miss Gresham. Et bien qu'il lui eut juré plus d'une fois ne pas supporter sa compagnie, Suzy savait qu'il ne pourrait la repousser indéfiniment. Il en allait ainsi dans l'Angleterre du dix neuvième siècles. Les mariages, trop rarement rompus, n'étaient que des arrangements commerciaux comme on en signait par millier dans les grands ports de toute l'Europe. Et bientôt, ce serait son tour, à elle, d'accepter un époux pour le bon plaisir de sa maternelle. Bientôt, elle devrait apprendre à renier les plaisirs de la compagnie d'Ezechiel et de Blaise. Bientôt.

Suzy vint s'allonger sur l'herbe fraiche, au centre de la clairière. Elle ferma les yeux, inspira profondément. L'odeur des pins, des fleurs séchés et la douceur de la nuit qui tombe. Voilà pourquoi elle aimait venir ici. Elle ouvrit de nouveau les yeux et, un sourire aguicheur aux lèvres, fit signe à Ezechiel de s'approcher.

Bientôt, sa vie ne lui appartiendrait plus. Mais pour l'heure, elle pouvait respirer.



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MessageSujet: Re: C'est lorsque le soleil se couche, que le paysage est admirable. ft Daisy   C'est lorsque le soleil se couche, que le paysage est admirable. ft Daisy Icon_minitime

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