back to black;

Une touche d'aquarelle ; un soupçon d'amertume ; un parfum à la mûre. Ta silhouette frêle dansait sur le bitume. Tes pieds alignaient ces pas que nul ne pouvait imiter sans tromper sa bravoure. Ta peau pâle, presque translucide, laissait paraître des veines d'un violet bleuté et semblait s'adoucir de jour en jour. Un pinceau à la main, tu pensais conquérir l'univers sans bouger un seul doigt de pied. Celui – ci se prélassant sur un matelas sur le sable fin et doux, au bord de la mer de couleur bleu azur. Bleu azur comme le ciel dont tu es tristement habitué à présent. Ton orgueil est de telle envergure que je ne puis plus te regarder en face, comme auparavant j'aurais sans aucun doute agi. Je suis naïve, je le sais. Tu es manipulateur, je le sais également, ne t'en fais pas. Ce n'est qu'un je t'aime moi non plus qui nous lie, rien de plus.

- Remarques constructives. Ce qui va, ce qui ne va pas.

▬ han lalah ! j'adore. vraiment. un des plus beaux trucs que tu ai écrit jusqu'à présent. je sais que je suis une perfectionniste qui demande toujours qu'on argumente et tout, mais là... je ne sais vraiment pas quoi dire. Il y a juste le rien d'autre de la fin qui gâche un peu tout selon moi. Faudrait peut être mettre un point après qui nous lie. Et ajouter quelque chose d'autre ensuite. Un truc genre; rien de plus, rien de moins pour rester dans l'esprit peut être ? Je sais pas. En tout cas bravo!, ce texte est génialissime.

relations&co.. you are the game`s master ..:

J'ai modifié le "rien d'autre". Merci à toutes les deux. Oui court texte mais c'est pour vous faire parler, chers enfants :;):

Je l'ai pauffiné et ajouté concrètement des choses :

PROLOGUE

Une touche d'aquarelle ; un soupçon d'amertume ; un parfum à la mûre. Ta silhouette frêle dansait sur le bitume. Tes pieds alignaient ces pas que nul ne pouvait imiter sans tromper sa bravoure. Ta peau pâle, presque translucide, laissait paraître des veines d'un violet bleuté et semblait s'adoucir de jour en jour. Un pinceau à la main, tu pensais conquérir l'univers sans bouger un seul doigt de pied. Celui – ci se prélassant sur un matelas sur le sable fin et doux, au bord de la mer bleu azur. Bleu azur comme le ciel dont tu es tristement habitué à présent. Ton orgueil est de telle envergure que je ne puis plus te regarder en face, comme auparavant j'aurais sans aucun doute agi. Je suis naïve, je le sais. Tu es manipulateur, je le sais également, ne t'en fais pas. C'est un je t'aime moi non plus qui nous lie, rien de plus.
Tu penses que je ne suis qu'une peluche dont tu ne puis te séparer. Tu t'es trop attaché à moi. C'est trop tard, à présent. Oublie cette fortune à laquelle tu t'es grossièrement habitué. Oublie ceci mais ne sois surpris de ma méprise lorsque je t'annoncerai notre fin. La fin de notre union. Ne prononce plus ces Reviens – moi, tu n'as plus aucune emprise sur moi. Je ne suis plus tienne. Tu n'es plus mien. La fin de notre union est annoncé. Pourquoi alors me suis – tu dans l'espoir de raviver notre alliance ? Raviver la flamme qui associait deux âmes complètement différentes. L'une naïve comme jamais et l'autre aussi manipulateur soit-il. Tu m'as pourtant aimé, ne me mens – pas. Tu m'as chéri comme cela n'aurait jamais été possible. Notre relation fusionnelle n'est plus. Adieu et plus de reviens – moi. Ce n'est qu'un je t'aime moi non plus, tu le sais également.

Cayenne Rousseau
Ta Caya n'est plus.

» way back into love ♧ MARLEY